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L’Ascension

L’Ascensione dans la cathédrale de Firenze

Les faits :

“Cher Théophile,

Dans mon premier livre, j’ai exposé tout ce que Jésus a commencé de faire et d’enseigner jusqu’au jour où il fut enlevé au ciel après avoir donné, par le Saint-Esprit, ses instructions à ceux qu’il s’était choisis comme apôtres.

Après sa mort, il se présenta à eux vivant et leur donna des preuves nombreuses de sa résurrection. Il leur apparut pendant quarante jours et leur parla du règne de Dieu.

Or, un jour qu’il prenait un repas avec eux, il leur recommanda de ne pas quitter Jérusalem, mais d’y attendre que son Père leur accorde le don qu’il leur avait promis. C’est le don que je vous ai annoncé, leur dit-il. Car Jean a baptisé dans l’eau, mais vous, c’est dans le Saint-Esprit que vous serez baptisés dans peu de jours.

Comme ils étaient réunis autour de lui, ils lui demandèrent : Seigneur, est-ce à ce moment-là que tu rendras le royaume à Israël ? Il leur répondit : Il ne vous appartient pas de connaître les temps et les moments que le Père a fixés de sa propre autorité. Mais le Saint-Esprit descendra sur vous : vous recevrez sa puissance et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu’au bout du monde.

Après ces mots, ils le virent s’élever dans les airs et un nuage le cacha à leur vue.

Ils gardaient encore les yeux fixés au ciel pendant qu’il s’éloignait, quand deux hommes vêtus de blanc se présentèrent devant eux et leur dirent : Hommes de Galilée, pourquoi restez-vous ainsi à regarder le ciel ? Ce Jésus qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, en redescendra un jour de la même manière que vous l’avez vu y monter. Alors les apôtres quittèrent la colline qu’on appelle mont des Oliviers, située à environ un kilomètre de Jérusalem, et rentrèrent en ville.”

Actes des apôtres 1.1-12 (Semeur)

 

Le sens :

“Pourtant, c’est la vérité que je vais vous dire : il vaut mieux pour vous que je m’en aille. En effet, si je ne m’en vais pas, le Défenseur ne viendra pas à vous. Mais si je m’en vais, alors je vous l’enverrai. Et quand il sera venu, il prouvera au monde qu’il s’égare au sujet du péché, de ce qui est juste et du jugement de Dieu : au sujet du péché, parce qu’il ne croit pas en moi; au sujet de ce qui est juste, parce que je m’en vais auprès du Père et que vous ne me verrez plus; et au sujet du jugement de Dieu, parce que le dominateur de ce monde est d’ores et déjà condamné.”

Jean 16.7-11 (Semeur)

“Dieu a ressuscité des morts ce Jésus dont je parle : nous en sommes tous témoins. Ensuite, il a été élevé pour siéger à la droite de Dieu. Et maintenant, comme Dieu l’a promis, il a reçu du Père l’Esprit Saint et il l’a répandu sur nous. C’est là ce que vous voyez et entendez. En effet, David, lui, n’est pas monté au ciel, mais il a dit : Le Seigneur a dit à mon Seigneur : Viens siéger à ma droite jusqu’à ce que j’aie mis tes ennemis comme un escabeau sous tes pieds.”

Actes des apôtres 2.32-35 (Semeur)

    Peur—de ça ?


    Peur ? Mais de quoi ?
    Sentir joyeusement de son esprit la délivrance ?
    La paix parfaite au-delà de la souffrance ?
    La fin des luttes, de tant de résistance ?
    Peur
    de ça ?


    Peur ? Mais de quoi ?
    De voir de mon Sauveur la face ?
    D’entendre son accueil, de voir les traces
    qui disent la gloire des blessures de la grâce ?
    Peur
    de ça ?


    Peur ? Mais de quoi ?
    Un éclair, un impact, un cœur transpercé :
    La nuit, la lumière : échange fabuleux, et
    faible reflet de ce qu’il a supporté !
    Peur
    de ça ?


    Peur ? Mais de quoi ?
    Faire par ma mort ce que ma vie n’a pas pu faire :
    Par mon sang baptiser un coin de terre
    pour qu’y fleurisse une moisson pour le Père ?
    Peur
    de ça ?

    D’après E. H. Hamilton


Christ règne, donc tout est bien, car tout sera bien !

 

   
 

Il n’est pas fou celui qui perd ce qu’il ne peut garder, afin de gagner ce qu’il ne peut perdre. (Jim Elliot)