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Actes des apôtres

Introduction

L’importance du livre des Actes

-  C’est le seul livre d’histoire d’Eglise inspiré par le Saint-Esprit et, donc, un modèle pour la mission de l’Eglise aujourd’hui.

-  Ce livre donne le cadre historique du Nouveau Testament :

-  Nous y trouvons un compte-rendu inspiré de la vie chrétienne individuelle et communautaire.

-  C’est un livre de transition :

L’auteur : Cf. Luc 1.1-4 avec Act 1.1,2. Cf. aussi les sections “nous”, à partir de 16.10. Col 4.11,14 : Luc est Grec, médecin et compagnon de Paul.

Théophile est adressé comme “excellent”, optimus, titre réservé aux sénateurs et aux gouverneurs, cf. 23.26. Il a peut-être payé pour la copie des deux livres.

But : Défendre les Chrétiens

– devant les autorités (pas besoin de craindre les Chrétiens)

– devant les païens (ch. 14,17. Le vrai Dieu peut enfin être connu)

– devant les Juifs (Christ est le Messie promis, ch. 2,7,13,22,28)

Enseigner les Chrétiens

– comment vivre en milieu hostile

– l’universalité de la Mission (dépasser les limites du peuple juif)

– Juifs et païens peuvent devenir un en Christ.

Plan : Cf. 1.8. 1-7 :

I. Jérusalem; II. 8-12 : Judée et Samarie; III. 13-28 : les extrémités du monde.

On peut aussi voir deux sections :

I. Jérusalem                Act 1.1-8.4

1. La préparation de l’équipe missionnaire, 1. Le plan de Dieu entre dans une nouvelle phase, déjà annoncée en Gen 12.1-3.

Comment ? La présence de Jésus : Ils ont reçu pour transmettre. Etre avec lui avant d’être envoyé par lui, Mc 3.14,15. Que Jésus a-t-il fait entre l’Ascension et la Pentecôte ?

La promesse de Jésus : L’Esprit-Saint permet d’accomplir la Mission. Un plan de conquête simple : un début, un rayonnement, un objectif.

La prééminence de Jésus : glorifié, cf. 2.33,34. Pas son absence, mais son règne et l’annonce de son retour personnel, visible, corporel. Au même endroit, Zac 14.4.

Le programme de Dieu. Il fallait attendre. Le calendrier de Dieu et la place de la Pentecôte. Son plan s’accomplit selon sa volonté, pas selon notre besoin, notre impatience ou nos idées. Attendre dans l’unité (dernière mention de Marie dans la Bible, :14), dans la prière, dans l’organisation. Cause : la chute de Judas à cause de son amour de lui-même. Donc pas de sécurité ? Oui, mais notre force est dans le retour à la croix lorsque nous avons fléchi devant la tentation. Judas a méprisé le sang de Christ. Notez l’inspiration de l’AT selon Pierre, :16. L’élection de Judas en vue d’un ministère, et non en vue du salut. La même chose pour nous ? Charge en :20 = épiscopat (litt.). :23 semble indiquer une préférence pour le premier candidat (Col 4.11). Ici un exemple comment choisir les responsables ? On est encore dans l’AT ! Pourquoi remplacer Judas ? Mt 19.27,28. Pas le sort, ni un vote démocratique, mais un usage qui rappelle les Ourim & Toummim (cf. Ex 29.30; 1Sam 23.9-12; Pr 16.33). Cf. la différence de procédure en Act 14.23.

2. L’onction de l’équipe missionnaire, 2.

L’événement, 2.1-13. La Pentecôte, cf. Lév 23.15-22 : en Israël, fête de la moisson et souvenir du don de la Loi. Moisson devient mission. La Loi sur des tables de pierre devient la Loi sur des tables de chair, 2Cor 3.3,15-18.

Les manifestations particulières : pas répétées dans le livre des Actes. Quel but ? Dieu ne gaspille pas l’énergie divine de son Esprit juste pour satisfaire des chrétiens ! Il fallait que l’Evangile atteigne le monde. Ce monde (les trois groupes ethniques : Sem, Japhet et Cham) représenté à Jérusalem à cause de la fête. Le bruit fait accourir les gens, par les langues Babel est renversé et les gens intrigués et prêts à écouter. Le but atteint en 2.12. Ils trouvent une équipe unie et ointe.

Langues : la promesse de Jésus, 1.5; 11.15,16. Langues connues et comprises, 2.11 (authenticité attestée). Destinées aux non croyants Juifs (au sens de la foi en Christ !), inattendues. C’est le passage le plus clair. 1Cor 14 écrit pour réguler leur usage dans l’église de Corinthe. Les langues disparaissent presque totalement avant la fin du premier siècle.

L’explication, 2.14-36. Un message biblique, christocentrique et appliqué. Les points : les derniers jours ont commencé, même si certains événements attendront leur achèvement lors du retour de Christ, 2.19,20. Un autre ère a commencé. Pierre donne la clé de lecture de l’événement : la personne du Messie Jésus. Il est derrière la Pentecôte. Notez le résumé de la vie de Jésus, centré sur la mort et la résurrection (la mort du Messie = le grand obstacle : Dieu ne peut mourir. L’Evangile : La mort ne peut pas triompher du Messie, elle doit le rendre et s’avouer vaincue). L’ascension prépare la Pentecôte. L’Esprit se manifeste quand Jésus est glorifié, cf. Jn 16.13,14. La preuve de tout cela dans ce qui se passe là. Conclusion : Dieu a établi Jésus comme Messie, et nous l’avons rejeté.

Le résultat, 2.37-47. Repentance (conversion, foi, changer d’avis, voir autrement) + baptême = pardon et réception de l’Esprit. Action du croyant (se repentir, croire), de l’église (baptiser), de Dieu (donner l’Esprit). Pardon et Esprit sont les dons promis de la nouvelle alliance, Jér 31.33,34; Ez 36.25-27. La prédication d’un Evangile christocentrique résulte en une expérience complète du salut. C’est le fondement indispensable de toute vie d’église. L’initiation dans la foi chrétienne tient donc dans l’ensemble de ces éléments. La foi se rend visible dans le baptême, évidence d’une réalité invisible : l’intégration dans la mort de Christ et cela résulte dans l’intégration dans l’Eglise, corps de Christ, 1Cor 12.13. Dans le salut, il y a toujours une séparation (sauvé de) et une intégration (ajouté à). Les 4 marques d’une vie d’église normale : enseignement, communion fraternelle (partage généreux des biens spirituels et matériels), cène et prières. Ne pas faire le tri, mais persévérer dans les quatre. :43-47 racontent comment cela fut pratiqué au début à Jérusalem. Le Seigneur ajoute à l’Eglise.

3. L’action de l’équipe missionnaire, 3.1-5.16

Guérison du paralytique, 3.1-11. L’heure de la prière, 15h. Les disciples suivent donc encore le culte juif au temple. Ce sont des Juifs messianiques. L’homme : image du monde sans Dieu : à la porte, mais jamais à l’intérieur, paralysé dans tout ce qu’il entreprend, intéressé par un secours matériel plutôt que par une intervention spirituelle et pourtant toujours insatisfait. Pour Pierre et Jean, l’homme est-il enfin devenu ‘visible’ ? Voit-on le monde autrement à cause de l’œuvre du Saint-Esprit ? Leur action : sociale et spirituelle. Besoin de les garder ensemble. :6, que donnons-nous ? Matériel au-dessus du spirituel ? L’effet : un changement radical et spirituel.

La prédication de Pierre, 3.12-26. D’abord un recentrage pour que Jésus soit au centre. De quels titres et noms se sert-il pour parler de Jésus ? Quelle attitude devant Pilate ? Comment est-on sauvé ? Quelle est la doctrine de Pierre en 3.20,21 ? Et si les Juifs avaient donné suite à son appel ? Quatre choses clé : péché, privilège, promesse et avertissement. Pourquoi sont-elles essentielles ? Quelle place accorde-t-il à la Parole de Dieu ? Quel effet, 4.4 ? Comment l’expliquez-vous ?

L’arrestation des apôtres, 4.1-4. Le fait des autorités religieuses. Crainte de l’ordre public, haine de l’Evangile, opposition doctrinale.

Interrogatoire et délibération, 4.5-22. Le même Sanhédrin qui avait fait exécuter Jésus. Quelle accusation ? Aucune ! Mais une invitation à expliquer l’Evangile. :8, cf. Mt 10.19,20. L’assurance de Pierre tranche avec sa peur d’avant. Notez les trois points de son témoignage après son humour devant la situation : 1. L’autorité du nom de Jésus, :10. Pierre rappelle les faits et leur implication. 2. La culpabilité du Sanhédrin, :11. Il rappelle la parole citée par Jésus, Mt 21.42, peu de temps auparavant devant les mêmes personnes. 3. L’unique possibilité de salut, :12. Un rejet du Judaïsme comme chemin de salut. Rejeter Jésus = perdition, malgré la religion centrée sur la Loi et le temple. Si cela est dit à des pratiquants du Judaïsme, c’est qu’aucune religion ne peut prétendre à la vérité qui sauve.

Comment savons-nous ce qui s’est passé après leur départ de la salle du conseil ? Des ‘fuites’ ? Des conversions parmi les présents ? Pas de réponse à Pierre selon les lignes de Mt 28.11-15 ! Aucun argument n’est invoqué. Y a-t-il conflit entre 4.19,20 et Rom 13.1-5 ? Cf. EW Lutzer, La croix d’Hitler, Editions Clé, Villeurbanne, 2003, pp. 152,153,160.

La prière de l’église, 4.23-31. Comment prier quand on est persécuté ? Quels sujets de prière ? Que veulent-ils obtenir de Dieu ? Quelle place à la souveraineté de Dieu ? Quelle réponse obtiennent-ils ?

La communion de l’église, 4.32-37. Communion fraternelle (koinonia) = partage généreux des biens matériels et spirituels. Unité, témoignage, partage (au lieu de division, dispute et discorde !) Etait-ce du communisme ? Cf. 5.4. Barnabas, fils de consolation ou d’exhortation, fait partie des nouveaux convertis. Mentionné à cause de son rôle plus tard.

La discipline dans l’église, 5.1-11. Quel péché ? Hypocrisie, cupidité, mensonge avec préméditation. Cf. Jos 7.1, Achan. A qui ont-ils menti : à l’église, à l’Esprit-Saint ou à Dieu ? Cf. la discipline enseignée par Paul, 1Cor 5.11-13 ; 11.30-32 ; 2Cor 13.5. Le résultat : la crainte, cf. Pr 23.17 ; Eph 4.30 ; Héb 10.27-31. Pierre a-t-il été trop sévère ? Qui punit ?

L’influence de l’église, 5.12-16. Miracles : cf. 2Cor 12.12. Après le temps des apôtres, ils semblent disparaître pour réapparaître là où Jésus est prêché pour la première fois. Mais le ministère de compassion envers les souffrants demeure (création hospices, hôpitaux, …). 

4. La persécution de l’équipe missionnaire, 5.17-8.4

Persécution de la part des autorités juives. Motif : jalousie, peur. Annoncée par Jésus, Jn 15.18-21; 16.33; 2Tim 3.12. Le résultat en est la croissance de l’église. “Le sang des martyrs est une semence de chrétiens” (Tertullien).

Contre les apôtres, 5.17-42. Un ange libère les apôtres. Pourquoi ? Cf. Etienne, Jacques, le frère de Jean et Pierre. Cf. Phil 1.21-26 et l’article suivant :

Pour le service … ou pour le sacrifice

C’était le moment de la pause au quartier général de la WEC. Un missionnaire vétéran de passage s’était joint à notre petit groupe. Lorsqu’il suggéra que nous puissions avoir un moment de prière ensemble, les rires et le bruit des tasses s’arrêtèrent.

Je ne me rappelle pas de sa prière, sauf pour une phrase. Elle m’est souvent revenue, me perçant le cœur comme un rayon de lumière vive. Voici cette phrase : “Seigneur, sers-toi de ces hommes qui veulent te servir comme tu t’es servi du bœuf de l’Ancien Testament, pour le service ou pour le sacrifice.” Je me souviens de mes objections intérieures à cette prière. Pour le service ? Bien sûr, n’était-ce pas notre but ? C’est pour cela que j’étais ici et que je voulais partir pour la mission. Mais pour le sacrifice ? Sûrement, ce ne devait être qu’une expression poétique …

Notre formation s’est achevée et les gens de notre groupe ont été éparpillés sur plusieurs champs missionnaires. Bill McChesney est parti pour l’est du Congo. J’étais sur le quai à New York pour lui dire au revoir. Un peu plus tard, je suis parti moi-même pour l’île de Java.

Me voici quatorze années plus tard. Je viens de rentrer pour mon deuxième congé. Bill n’est pas rentré en congé – il est rentré définitivement à la Maison. Ce fut peut-être un fusil Simba qui mit fin à sa vie au Congo. Mais il y avait aussi une autre cause. La phrase que je ne voulais pas accepter il y a quatorze ans m’est revenue. N’était-ce pas là la raison sous-jacente de sa mort ? Le Seigneur a jugé bon d’utiliser son serviteur pour le sacrifice. Bien que je n’arrive pas à le comprendre, je ne mets rien en question. Je ne peux que prier :

“Ma force, ma vie je te les donne : sers-toi de moi, ta vie en moi façonne.

Fidèle à te suivre, peu importe le prix, prêt pour le service, ... ou ... pour le sacrifice.”

WEC, décembre 1974

De nouveau arrêtés, mais avec un certain respect ! L’accusation, :28, est en fait un témoignage à l’efficacité de l’œuvre de cette église. Cf. aussi Mt 27.25. La réponse de Pierre : Rappel 4.19; l’unité entre l’AT et le NT; reconnaître Jésus est la clé de la nouvelle alliance : don du pardon et de l’Esprit; vraie obéissance est le fruit de la présence de l’Esprit. Pour les Juifs = fruit du respect scrupuleux de la Loi : sanctification, obéissance = condition pour être pardonné et pour recevoir l’Esprit. Pour le NT, obéissance = conséquence de la présence de l’Esprit. Pour les légalistes juifs, ce devait être un choc théologique !

Gamaliel, membre du sanhédrin, pharisien, docteur de la Loi, tenu en grande estime par les Juifs. Il fut le maître de Paul, qui étudia la Loi sous sa direction (22.3). Selon le Talmud, Gamaliel était le petit-fils d’Hillel, le célèbre rabbin. Il mourut vers l’an 50 de notre ère. “Depuis la mort de Rabban Gamaliel l’Ancien, il n’y a plus de révérence pour la Loi, et la pureté et l’abstinence sont mortes avec lui.” En Act 5, il fait part des faux messies apparus. Résultat de la lecture de Dan 9.24,25 ? Son conseil rempli de sagesse, :38,39. Cf. Mt 16.18. Ce conseil est-il encore valable aujourd’hui ? Que fut l’effet de la punition ?

Contre Etienne, 6,7. Sa nomination, 6.1-7. Un problème tribal et une solution biblique. Un service simple et matériel, pourtant, des conditions spirituelles. Conditions remplies par tous les chrétiens ? Besoin d’organisation et séparation des tâches. Des diacres ? En fait, cela n’est pas mentionné ainsi. Ne pas en tirer la conclusion : diacres = tâches matérielles, ce serait sans doute une erreur. L’imposition des mains = acte d’identification et de reconnaissance, non de transmission de pouvoir. Résultat : croissance, notamment parmi les sacrificateurs !

Son arrestation, 6.8-15. Etienne, disciple, diacre, évangéliste. Homme de l’Esprit et homme de la Bible. La synagogue des Affranchis : des Juifs de Cilicie etc. La région de Paul. Saul de Tarse dans l’auditoire d’Etienne ? Alors, le :10 peut expliquer sa hargne ! Que veut dire le :14 ? Urgence à recevoir Jésus à cause des calamités à venir. La procédure ressemble à celle utilisée contre Jésus.

Sa défense, 7.1-53. Les points principaux de ce message pétri de la Bible : 1. Nous sommes de passage sur terre, sans demeure permanente, exemples d’Abraham, de Joseph et de Moïse, :3,5,6,44,48-50. Dieu habite sous tente; on ne peut le fixer dans un bâtiment. On ne peut le mettre en boîte. Dieu est ‘en voyage’ et en voulant le fixer, et se fixer, on risque fort d’être séparé de lui. On ne peut limiter Dieu et la vie avec lui à de simples traditions. L’attachement au temple et à la ville mettaient ces Juifs en porte-à-faux avec Dieu. A la façon juive, où le point clé se trouve souvent au centre, ce point enveloppe le suivant.  2. Le peuple de Dieu a toujours été rebelle contre lui, exemples de Joseph et de Moïse, :9,35,39-43. Il a toujours eu difficile de reconnaître la main de Dieu dans son histoire. On ne peut mettre Dieu en boîte, s’imaginer qu’on a tout compris et qu’on sait tout de sa manière d’agir. On ne peut pas instrumentaliser Dieu pour se détourner de lui quand ça ne marche pas. Le point central d’Etienne dans le rejet de Moïse et le rejet de Dieu. Rejeter la solution de Dieu était un mal récurrent du peuple. Et Dieu a accompli son plan malgré cela. Mais cela ne peut empêcher le jugement, ni dans l’histoire, ni pour les Juifs qui écoutent Etienne, cf. 6.14. Quand Dieu accomplit la prophétie de Moïse, :37, il faut donc s’attendre à la même réaction. Les Juifs qui ont crucifié Jésus agissent comme leurs pères, aveugles devant ce que Dieu fait, se confiant dans ce qu’ils peuvent toucher, et désobéissants à la Loi. Et par le Serviteur rejeté, Dieu sauve son peuple.

La conclusion d’Etienne, 51-53, est probablement due à la réaction des Juifs. On sent bien quel genre de conclusion il aurait préféré et pu tirer sans problème de son discours.

Autre division proposée du sermon : 1. Période des patriarches, :2-16. 2. Moïse et la Loi, :17-43. Le tabernacle et le temple, :44-50. 1 = introduction, 2 = défense contre la charge de blasphème contre la Loi, 3 = défense contre la charge de blasphème contre le temple et contre Dieu.

Sa mort, 7.54-59. Pour les Juifs, la gloire de Dieu, la Shékina, était limitée au temple. Le Seigneur donne la grâce de mourir pour lui d’une manière qui honore Dieu. Etait-ce une condamnation à mort légale ? Cf. 8.1, meurtre. Ici la dernière mention biblique du ‘Fils de l’homme’.  Probablement, Luc a obtenu plusieurs détails de la mort d’Etienne par Paul, qui a toujours regardé sa participation dans la persécution des chrétiens, dont Etienne était le premier, comme le pire des péchés.

Contre toute l’Eglise, 8.1-4. Le résultat de cette persécution sera que l’Evangile est prêché hors des limites de Jérusalem, cf. 1.8 et 11.19. Qui furent les Evangélistes ?

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